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[TEST] Labyrinth of Galleria: The Moon Society

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Labyrinth of Galleria: The Moon Society

NIS America proposera bientôt Labyrinth of Galleria: The Moon Society, suite de Coven of Dusk. Nous l’avons testé pour vous !

Nous suivons les aventures de la jeune Euréka de Soleil qui cherchant du travail, se retrouve dans le manoir Galleria du comte Bismont.

Là, la sorcière Marta vous explique que votre travail sera de réunir les Curios d’Art, des artefacts qui auraient d’étranges pouvoirs.

Et pour cela vous aurez la possibilité de créer des troupes de marionnettes afin d’arpenter les dédales du labyrinthe car les humains normaux ne peuvent y pénétrer.

Vos troupes se déplacent case par case, vous devez vous enfoncer toujours de plus en plus profondément tout en combattant les monstres qui s’y trouvent et en récupérant tous les trésors possibles, bien sûr énigmes tordues et Boss avec trop de points de vie sont au programme.

Il faudra monter son équipe de base en équilibrant les capacités de chacun, Guerrier, Magicien, Tank, Healer, que du classique mais on peut varier énormément leurs caractéristiques lors de la création.

Au fur et à mesure, vous aurez accès à de nombreuses capacités, casser des murs, sauter par-dessus les ravins, marcher dans le miasme empoisonné sans subir de dégâts, etc.

Ce qui vous demandera souvent de faire des allers-retours entre le labyrinthe et le manoir afin d’actualiser vos capacités pour continuer votre périple dans le labyrinthe.

Au manoir, vous aurez la possibilité d’acheter des fioles de soin dans la boutique, de construire de nouvelles marionnettes, d’améliorer vos équipements grâce à un chaudron et en faisant de l’alchimie, de remplir des quêtes annexes.

Malgré ça, pour avancer, il faudra souvent prendre des risques, combattre un ennemi plus fort (représenté avec un œil violet sur la carte), sauter dans le vide pour descendre d’un étage mais subir des dégâts de chute en contrepartie.

Le gros point positif du jeu, c’est aussi la narration et les personnages auxquels on s’attache rapidement, dommage que tous les textes soient en anglais car ça parle beaucoup.

On reste dans l’univers de « Labyrinth of Refrain : Coven of Dusk », même si on ne suit pas les mêmes personnages, les graphismes et les musiques nous mettent dans la même ambiance que son prédécesseur et comme beaucoup de jeu chez NIS, il y a cet humour très Disgaea si agréable pour les fans.

Un jeu complet avec des nouveautés par rapport à l’épisode précédent, un immanquable pour les fans du genre Donjon RPG, en attendant le portage des Etrian Odissey (épisodes 1 à 3) annoncés dernièrement sur la Nintendo Switch.

Labyrinth of Galleria: The Moon Society est attendu pour le 17 février 2023 en version physique sur Nintendo Switch, PlayStation 5 et PlayStation 4.

Test effectué sur Nintendo Switch sur une version dématérialisée/physique fournie par le distributeur
Les Plus Les Moins
La bande sonore Pas de localisation française et beaucoup de texte
La direction artistique (Takehito Harada au chara design) On se perd malgré la carte du jeu, il faut s’accrocher pour avancer
Les voix en japonais
La grosse surprise, une fois le jeu fini

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