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[TEST] ELEX : Que donne le dernier bébé du studio Piranha Bytes ?

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Nos amis Allemands de Piranha Bytes, connu pour des licences comme Gothic ou la série des Risen, sont de retour avec un nouveau RPG : ELEX.

ELEX : nos impressions

L’histoire :

L’histoire d’Elex est assez simple, notre héros est un ancien Albs (antagonistes du jeu), après avoir été trahi et dépouillé de ses biens. Vous recommencez une nouvelle vie tout en cherchant les responsables de ce qui vous est arrivé. Vous pourrez choisir de rejoindre une des quatre factions du jeu :

  • Les Berserkers ont choisi de vivre en harmonie avec la nature, renonçant à la technologie et ouvrant les bras à la magie. Ces derniers vivent dans les contrées verdoyantes d’Edan.
  • Les Clercs sont installés dans la zone où le météore s’est écrasé, dans les montagnes volcaniques d’Ignadon. Ces derniers vouent un cultes au dieu Calaan et voient l’Elex comme un péché. Ce qui ne les empêchent pas de l’utiliser pour créer des méchas, des armes et des machines.
  • Les Hors-la-loi de Tavar ont choisi la liberté du désert et sont devenus experts dans le recyclage et l’exploration de ruines. Ils vivent en dehors des lois et de la civilisation.
  • Les Albs est le peuple militarisé du jeu. Ils misent sur l’Elex pour développer la technologie et le corps humain. Ces derniers sont d’ailleurs purgés de toute émotion et se sont installés dans les montagnes enneigées de Xacor.

La dernière étant votre faction d’origine vous pouvez l’oublier car les PNJ de cette faction ne voudront qu’une seule chose, vous tuer.

A vous maintenant de rejoindre la factions de votre choix en prouvant votre « valeur » aux différents chefs des factions et vous en faire des alliés pour découvrir ce que les Albs ont prévu de faire.

Graphisme :

Graphiquement le jeu est beau, il ne décroche pas la mâchoire, mais nous bluffe par certain moment. Les décors sont riches d’une région à une autre et les vestige de l’ancien monde recouvert de plantes renforcent le coté post-apocalyptique du titre. Il est cependant recommandé d’avoir un PC assez puissant pour vraiment en prendre plein la figure au niveau des décors. Les versions consoles sont elles-aussi plutôt belles.

 

Gameplay :

C’est maintenant le moment de parler des choses qui fâchent. Le gameplay du jeu va tout de suite vous rappeler un Dark Souls, une touche pour les attaques faibles, une pour les attaques fortes, une pour se protéger avec un bouclier si on en a un, et une pour esquiver les coups. Le plus gros soucis du jeu est sans mentir sa difficulté. N’importe quel mobs du jeu peut vous tuer en 1 ou 3 coups. Esquiver les coups vous fait utiliser de l’endurance, et plus l’endurance est égale à plus d’attaque possible ni d’esquive. Les quêtes données par les PNJ sont elles-aussi mal-fichues. On vous demandera souvent de vous rendre dans une zone à l’autre bout de la carte pour tuer une créature, qui a pour icône une tête de mort qui signifie « danger de mort, je te one-shot si tu m’approches ». Pour débloquer de l’équipement et des armes, vous allez avoir deux choix, soit farmer la monnaie du jeu comme un fou ou réussir les quêtes les plus dangereuses. Préparez vous à rager et a voir l’écran « fin » très, très souvent.

Sachez aussi que les PNJ n’oublieront jamais vos actions, prenez garde à chaque réponse que vous donnerez pendant un dialogue, car certaines vous mèneront à une mort certaine si vous ne faite pas le bon choix. Si un PNJ vous demande de l’aide et que vous refuser en lui disant d’aller voir sa grand-mère des fleur dans le derrière d’un poney, sachez qu’il peut soit partir en vous menaçant dans le meilleur des cas, soit vous tuer sur place et mettre fin à une quête qui vous donnait de l’équipement ou un objet plutôt utile. Si vous décidez de tuer un PNJ alors que celui-ci vous avait confié une quête, sachez que la quête disparaitra de votre journal ainsi que toutes les sous-quêtes lié à celle-ci Le PNJ ne réapparaîtra pas non plus puisque vous l’aurez tuer.

Le jeu à cependant un coté plutôt sympathique. Vous êtes « l’humain » qui prend les décisions et non le « gamer », car vous aurez tendance très souvent à réfléchir à votre réponse pour éviter une mort rapide, plutôt que passer les dialogues, penser au loot que vous donnera la quête ou tout simplement pensez à tuer le PNJ pour aller plus vite.

Conclusion :

ELEX est un jeu vraiment dur à prendre en main, les façons de mourir sont extrêmement nombreuses et parfois complètement imprévisible. Le jeu plaira sans doute pour son histoire qui peut plaire à certains ou ses graphismes qui sont quand-même incroyable à certains endroits de la carte. Nous conseillons cependant d’acheter un sac de frappe ou un mannequin à qui coller quelques baffes entre deux parties car on a tendance à très vite rager quand on se fait « one shot » par un monstre ou un PNJ à cause d’une mauvaise esquive ou d’une mauvaise réponse lors d’un dialogue.

Notre vidéo-test sur ELEX :

REVIEW OVERVIEW
Gameplay
Graphismes
Ambiance
Durée de vie
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test-elex-ps4ELEX est un jeu vraiment dur à prendre en main, les façons de mourir sont extrêmement nombreuses et parfois complètement imprévisible. Le jeu plaira sans doute pour son histoire qui peut plaire à certains ou ses graphismes qui sont quand-même incroyable à certains endroits de la carte. Nous conseillons cependant d'acheter un sac de frappe ou un mannequin à qui coller quelques baffes entre deux parties car on a tendance à très vite rager quand on se fait "one shot" par un monstre ou un PNJ à cause d'une mauvaise esquive ou d'une mauvaise réponse lors d'un dialogue.

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